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L’Observatoire Est-Méditerranéen du Développement Durable:

Plateforme d’Evaluation Partagée d’Eco-Risques

Conformément aux recommandations de la déclaration de Beyrouth-Marrakech (COP 21-22) et en  s’inspirant de la création de l’Observatoire du développement durable en 2006, il a été convenable de créer  l’Observatoire Méditerranéen du Développement Durable sous l’égide de l’UNESCO,  dans le but de :

 

  1. Préserver l’écosystème du Littoral Méditerranéen

  2. Protéger les ressources naturelles

  3. Favoriser la mise en place de technologies sobres et propres pour la défense de l’environnement et la lutte contre le réchauffement global du climat

  4. Mettre  en place une gouvernance régionale.

Les secteurs de l’eau , de l’énergie et de l’agriculture sont intimement liés et interdépendants.  Suite à cette logique, il est nécessaire d’agir à travers le concept l’hydro-diplomatie pour la survie des ressources et de l’Humanité dans le cadre du Nexus Eau-Energie-Alimentation, d’autant que les ressources sont de nature transfrontalières.

Les conséquences du réchauffement climatique ainsi que les politiques menées auront un impact majeur au long terme sur nos ressources d’où la nécessité de repenser une stratégie basée sur les concepts du développement durable.

 

La région du Sud-Est de la méditerranée ainsi que le Moyen Orient souffrent de la dégradation de leur environnement accompagnée par une forte croissance démographique , une répartition inégale des ressources et des tensions politiques. Cette région  manque d’infrastructures et de systèmes d’observation et d’évaluation dans le domaine de l’énergie, de l’eau et de l’environnement, ce qui empêche les pays en question de lutter contre les conséquences du changement climatique . Suite à la conférence intitulée « L’Après Cop 21 : les politiques d’adaptation pour la région méditerranéenne », de multiples politiques d’adaptations ont été proposées, suggérant la nécessité de procéder face aux défis auxquelles fait face la région de la méditerranée.

Ainsi, il serait judicieux d’opter pour la coopération , entrainant les pays riverains à être des catalyseurs pour la paix dans le cadre d’une gouvernance régionale et dans un esprit de résolution de conflits.

Ainsi, l’OMDD concentre ses stratégies autour de l’éducation,  l’alimentation, la prévention, l’hydro-diplomatie et l’innovation, mobilisant donc des experts scientifiques et professionnelles en matière d’énergie, d’environnement et de développement durable. Leur participation et présence au sein de l’observation est indispensable, leur expertise permettant de réfléchir aux politiques énergétiques environnementales et de trouver des solutions adéquates tout en préservant et respectant les ressources hydrauliques et les recommandations de la COP 21 et de la Cop 22 .

Pour concrétiser notre mission , le dialogue, la communication et la coopération sont essentiels et nécessaires. La réalisation des objectifs de l’Observatoire nécessite une base de données de tous les pays participant. 

 

Sous l’égide de l’UNESCO (International hydrological programme), un réseau de partenariats locaux se constituera afin de former l’Observatoire et engager son programme. Cette collaboration permettrait d’identifier et évaluer la faisabilité des mesures de préservation envisagées, les risques, les moyens de contrôle, le protocole de monitoring de leurs impacts .A travers le travail collaboratif , il sera possible de quantifier et qualifier les indicateurs d’efficacité énergétique, implémenter des politiques énergétiques et environnementales, les progrès des sciences, des techniques et de l’industrie et évaluer les potentialités de chacune des sources d’énergies renouvelables.

Pour réaliser sa mission, l’OMDD propose différentes stratégies :

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